Découvrez nos différents services d'imageries médicales

Dr. Teymoor Moradi

Radiologue

Diplômé de médecine et d'imagerie médicale à l'Université Libre de Bruxelles, le Docteur Moradi est à l'origine de la création du Centre d'Imagerie Médicale d'ANToing (CIMANT). Fort de son expérience de plusieurs années à Tournai et dans le nord de la France, il a souhaité rassembler une équipe d'experts afin d'offrir à la population un centre d'imagerie médical de qualité à Antoing. C'est donc tout naturellement qu'il a décidé de mettre en place son projet au sein de la polyclinique BNA Santé.

Domaine d'expertise:

  • Radiographie et échographie générale.
  • Echographie musculo-tendineuse et infiltration.
  • Sénologie (cytoponction et microbiopsie).
  • Doppler.
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Dr. Vincent Remiche

Radiologue

Diplômé de médecine et d'imagerie médicale à l'Université Catholique de Louvain, le docteur Remiche exerce depuis de nombreuses années au CHwapi. Ce radiologue bien connu de la région a directement été emballé par le projet de création d'un centre d'imagerie médicale à Antoing.

Domaine d'expertise:

  • Echographie générale et doppler.
  • Echographie musculo-tendineuse et infiltrations.

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Dr. Michel Gustin

Radiologue

Après avoir forgé son expérience de radiologue interventionnel à la Clinique de Jolimont, ce docteur diplômé de l'Université Catholique de Louvain a assez vite rejoint le CHwapi. Il y exerce depuis plus de 30 ans et est ravi de venir partager son expérience et de mettre à disposition ses compétences à la population d'Antoing et des environs.

Domaine d'expertise:

  • Echographie générale et doppler.
  • Echographie musculo-tendineuse et infiltrations.
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Dr. Christophe Paret

Radiologue

Diplômé de la factulté de Lille en 1996, le Docteur Paret a effectué plusieurs diplômes universitaires complémentaires en imagerie à Paris (thoracique, abdominale, mammaire,...). Exerçant à Cambrai et Tourcoing depuis plus de 20 ans, le Docteur Paret se fait un plaisir de venir mettre à disposition ses compétences pour la première fois en Belgique à la polyclinique BNA Santé.

Domaine d'expertise:

  • Radiographie,
  • Echographie
  • Mammographie.

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Dr. Thomas Ferrant

Radiologue

Diplômé à l'Université Catholique de Louvain, le Docteur Ferrant a très vite rejoint le CHwapi pour y pratiquer la radiologie diagnostique. Il y professe depuis une trentaine d'années. Fort de son experience, c'est avec joie qu'il rejoint l'équipe d'imagerie médicale de la polyclinique BNA Santé.

Domaine d'expertise:

  • Radiologie générale.
  • Echographie digestive et osteo-articulaire.
  • Doppler artériel et veineux

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La radiographie permet de visualiser différents organes du corps à l'aide d'un tube radiogène. Ce tube émet un faisceau de rayons-X qui traverse la matière. Selon la nature des tissus traversés, les rayons X seront plus ou moins atténués et donneront au final une image radiologique contrastée. Essentiellement utilisée pour l'étude du squelette et des articulations, elle permet aussi d'analyser les tissus mous du thorax (poumons, seins) et de l'abdomen. Elle intervient en premier recours pour le diagnostic des fractures, de l'arthrose ou des malformations au niveau osseux. Au niveau pulmonaire, elle dépiste des lésions tissulaires, des infections ou des tumeurs. Au niveau abdominale, ce sont essentiellement des calculs ou des affections digestives qui sont visualisés.

La mammographie permet de radiographier les seins à l'aide d'un tube radiogène. Le faisceau de rayons-X émis du tube traverse le tissu mammaire et donne une image radiologique contrastée. Grâce à elle, des anomalies des tissus telles que des opacités, des micro-calcifications ou des tumeurs sont détectées. Elle intervient en premier recours pour le diagnostic du cancer du sein notamment avec le dépistage organisé prévu tous les 2 ans entre 50 et 74 ans.

L'échographie permet d'explorer différents organes du corps en plaçant une sonde sur la peau. Cette sonde émet des ondes ultrasonores qui sont réfléchies par les tissus explorés puis détectées sous forme d'échos par cette même sonde et traduites en images interprétables par un ordinateur. Elle est utilisée pour rechercher des anomalies sur les organes de l'abdomen (le foie, la vésicule biliaire, la rate, le pancréas et les reins), les organes génitaux (prostate, testicules, utérus, ovaires) et le cœur. Elle permet également l'exploration des tissus mous, des ligaments, des tendons et des muscles. Technique indispensable au cours d'une grossesse, elle est l'examen de référence pour suivre le développement du fœtus et dépister d'éventuelles anomalies. Le doppler permet, avec la même technique, l'exploration du sang circulant dans les veines et les artères. Indiqué en cas de suspicion de phlébite (caillot bloqué dans une veine) ou de plaques d'athérome (rétrécissement du calibre d'une artère), il est un bon moyen d'étudier les perturbations du flux sanguin et d'évaluer la vascularisation des organes.

L’ostéodensitométrie ou densitométrie osseuse est une radiographie qui permet de calculer la densité osseuse c’est à dire sa minéralisation. En effet, vos os contiennent du calcium. Si la teneur en calcium (DMO) est faible, le risque de fractures liées à l’ostéoporose sera plus élevé. Cet examen peut vous être prescrit par votre médecin traitant ou par un spécialiste si vous présentez des signes évocateurs d’ostéoporose. Quel est le principe ? Comme pour une radiographie ou un scanner, l’ostéodensitométrie utilise un faisceau de rayons X. Il s’agit d’une infime dose de radiation envoyée à travers un os. Le faisceau traverse donc l’os et les parties non atténuées de ce faisceau arrivent sur un plateau spécifique. La quantité de rayons parvenus jusqu’au plateau permet de calculer la densité minérale osseuse.

La plupart des infiltrations peuvent êtres faites par votre médecin en consultation. Mais dans certains cas, il est souhaitable d'injecter le produit avec une grande précision au niveau de la cible. Dans ce cas, l'infiltration est réalisée dans une salle de radiologie avec un contrôle radioscopique : le trajet de l'aiguille est repéré à la radiographie (cf figure). L'injection d'une petite quantité de produit de contraste, avant l'infiltration elle-même, confirme que la pointe de l'aiguille est bien placée. L'infiltration d'une petite articulation (comme les articulations postérieures du dos) ou l'infiltration proche de structures nobles (nerfs, vaisseaux, etc.) méritent également d'être réalisées sous contrôle radioscopique.

Le cone beam (ou CBCT) est une nouvelle technique de radiographie numérisée apparue vers la fin des années 90. Comme son nom l’indique, il utilise un faisceau d’irradiation de forme conique. Cet appareil présente notamment l’avantage d’être plus précis que le panoramique dentaire en offrant une résolution similaire, voire supérieure à celle du scanner, avec en plus la possibilité d’une reconstitution numérique en 3D. Autre avantage, le cone beam apporte des indications plus détaillées sur les petites structures osseuses, difficiles à visualiser au scanner. Et à l’inverse de celui-ci, il permet de balayer en un seul passage l’ensemble du volume à radiographier, en étant en outre moins irradiant. Il offre par ailleurs la possibilité de localiser le champ d’examen sur la zone à étudier (quelques dents, une mâchoire), ce qui permet d’éviter d’irradier inutilement les autres parties du crâne. Les applications du cone beam sont nombreuses allant de la chirurgie buccale à l’orthopédie (poignets…) en passant par l’orthodontie, la chirurgie maxillo-faciale et l’ORL. Bien qu’il soit plus pratiqué pour l’examen des sinus, il est de plus en plus utilisé en médecine dentaire. Etant plus indiqué pour l’examen des tissus minéralisés (dents, cartilages, os), il permet d’identifier les lésions osseuses, les fractures, les infections, les kystes ou les corps étrangers.